L’activité physique régulière est bénéfique pour la santé à bien des égards, notamment en contribuant à la formation et au maintien d’os, de muscles et d’articulations sains, en aidant à contrôler le poids et à réduire les graisses, et en prévenant ou en retardant l’apparition de l’hypertension artérielle (GAO, 2012).
L’exercice est l’un des moyens les moins coûteux de rester en bonne santé
Une étude ayant révélé que l’exercice peut prévenir les maladies chroniques aussi efficacement que les médicaments (British Journal of Medicine, 2013). Une étude complète et une analyse des recherches existantes ont révélé que l’activité physique pendant les loisirs est associée à un risque réduit de 13 types de cancer différents, notamment le cancer du sein, du côlon, du foie et la leucémie myéloïde (National Institutes of Health, 2016).
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La pratique du sport est un prédicteur important de la participation des jeunes adultes à des activités sportives et de conditionnement physique. Les adolescents qui font du sport ont huit fois plus de chances d’être actifs à l’âge de 24 ans que les adolescents qui ne font pas de sport (Sports Participation as Predictors of Participation in Sports and Physical Fitness Activities in Young Adulthood, Perkins, 2004). Trois adultes sur quatre (77 %) âgés de plus de 30 ans qui font du sport aujourd’hui en ont fait quand ils étaient enfants. Seuls 3 % des adultes qui font du sport actuellement n’en ont pas fait quand ils étaient jeunes (Robert Wood Johnson Foundation/Harvard University/NPR, 2015).
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Les communautés actives sont plus saines
L’Aspen Institute a examiné les 10 premières villes (classées globalement) de l’ACSM American Fitness Index 2019 pour comprendre les valeurs, les investissements en capital et financiers, et les environnements d’une communauté qui investit dans le sport et les loisirs. Les villes ayant obtenu les meilleurs scores sont considérées comme ayant une forte condition physique communautaire, un concept comparable à celui des individus ayant une forte condition physique personnelle. Voir le graphique connexe sur les résultats.
Les enfants actifs sont moins obèses
Dans une étude de 2014 publiée dans l’American Journal of Preventive Medicine, des chercheurs ont analysé les stratégies de prévention de l’obésité et leur capacité à réduire l’obésité d’ici 2032. Ils ont constaté que les programmes d’activité physique après l’école réduiraient le plus l’obésité, soit 1,8 % chez les enfants âgés de 6 à 12 ans. C’est deux fois plus que l’impact prévu de l’interdiction de la publicité pour les fast-foods destinée aux enfants.
Une étude antérieure menée auprès de collégiens a révélé que « les motifs de la participation à un sport sont plus désirables que ceux de l’exercice et peuvent faciliter une meilleure adhésion aux recommandations en matière d’activité physique » (Kilpatrick, Journal of American College Health, 2005).
Selon une étude réalisée en 2021 par les Centers Disease Control and Prevention, 22 % des enfants et des adolescents ont été classés comme obèses pendant la pandémie de coronavirus, ce qui représente une augmentation « alarmante » par rapport aux 19 % enregistrés avant le COVID-19. Pour les enfants gravement obèses, la prise de poids annuelle prévue est passée de 8,8 livres avant la pandémie à 14,6 livres en août 2020. Les enfants modérément obèses sont passés de 6,5 livres à 12 livres. Même les enfants qui avaient un poids sain avant la pandémie ont vu leur prise de poids annuelle passer de 3,4 livres à 5,4 livres.